Régulièrement l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) publie sur son site Internet des nouvelles de la recherche médicale et également un magazine d’information scientifique. Le numéro 51 publié fin novembre consacre un grand dossier à la santé gynécologique.

Beaucoup de connaissances sont disponibles aujourd’hui sur la reproduction. Elles permettent aux femmes d’accéder à un large éventail de traitements et de technologies pour avoir des enfants, même quand elles rencontrent des problèmes de fertilité ou présentent une grossesse à risque. À l’inverse, les troubles rencontrés par les femmes sans lien direct avec la reproduction sont largement méconnus, voire ignorés, surtout quand ils concernent les douleurs gynécologiques ou la santé mentale.

Ainsi, peu de choses sont connues sur les mécanismes du syndrome prémenstruel, du syndrome des ovaires polykystiques ou même de l’endométriose, pourtant largement répandus, et la médecine reste démunie pour apporter du soulagement à celles qui en souffrent : ils sont perçus comme problèmes mineurs et négligeables. Comment la recherche progresse-t-elle sur ces sujets ? Que dit cette situation en matière d’inégalités de genre pour la recherche, le diagnostic, le développement de traitements et l’accès aux soins ? C’est ce que propose, en page 25, le dossier de ce dernier numéro du magazine de l’INSERM (ou cliquez ici pour lire le magazine en ligne)

Il est possible de s’abonner à une synthèse mensuelle des nouvelles de la recherche médicale, avec la lettre d’information de l’INSERM. Il faut aller tout en bas de leur site Internet pour trouver le formulaire d’abonnement.

Vous pouvez aussi retrouver les différents numéros du magazine d’information de l’INSERM sur leur site web. Scientifique mais accessible au plus grand nombre, il illustre découvertes, débats et questions d’une recherche biomédicale en constant mouvement.

N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez savoir comment la naturopathie accompagne les troubles du cycle menstruel, un projet d’enfant ou les phases de pré-ménopause et la ménopause. Cela en complément de votre suivi médical par un.e gynécologue, un.e médecin généraliste ou votre sage-femme.